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Le signal est communément considéré comme le support
physique d’une information. Les signaux sonores par exemple sont des
fluctuations de la pression de l’air transportant un message à
l’oreille. Les signaux visuels sont des ondes lumineuses qui apportent
l’information à l’œil. Les signaux sont représentés mathématiquement
par une fonction d’une ou à plusieurs variables. Généralement, ils sont
fonction de la variable du temps. Les signaux sont traités soit pour en
extraire de l’information, soit pour les rendre porteurs d’information.
En télécommunication, les signaux sont des grandeurs électriques
(tension, courant). Le passage de l’information au signal se fait dans
les transducteurs. Parmi tous les signaux physiquement possibles, on
distingue : les signaux périodiques, les signaux uniques et les signaux
aléatoires. Face à un signal, on doit toujours avoir présent à l’esprit
qu’il existe deux représentations possibles : la représentation dans le
domaine temps et la représentation dans domaine fréquentiel. La
représentation temporelle est celle visualisée par un oscilloscope. La
représentation dans le domaine fréquentielle indique l’encombrement
spectral du signal, elle peut être visualisée par un analyseur de
spectre ou calculée en faisant appel aux séries de fourrier ou à la
transformation de fourrier.
canal de transmission


sattelite de télécommu nication
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Le
signal est communément considéré comme le support physique d’une
information. Les signaux sonores par exemple sont des fluctuations de
la pression de l’air transportant un message à l’oreille. Les signaux
visuels sont des ondes lumineuses qui apportent l’information à l’œil.
Les signaux sont représentés mathématiquement par une fonction d’une ou
à plusieurs variables. Généralement, ils sont fonction de la variable
du temps. Les signaux sont traités soit pour en extraire de
l’information, soit pour les rendre porteurs d’information. En
télécommunication, les signaux sont des grandeurs électriques (tension,
courant). Le passage de l’information au signal se fait dans les
transducteurs. Parmi tous les signaux physiquement possibles, on
distingue : les signaux périodiques, les signaux uniques et les signaux
aléatoires. Face à un signal, on doit toujours avoir présent à l’esprit
qu’il existe deux représentations possibles : la représentation dans le
domaine temps et la représentation dans domaine fréquentiel. La
représentation temporelle est celle visualisée par un oscilloscope. La
représentation dans le domaine fréquentielle indique l’encombrement
spectral du signal, elle peut être visualisée par un analyseur de
spectre ou calculée en faisant appel aux séries de fourrier ou à la
transformation de fourrier.
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Le dévellopement de l'électronique nummérique a favorisé celui des télécoms
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Ces distorsions sont engendrées par les caractéristiques d ‘un canal
qui a une bande passante limitée .Certaines parties du spectre du
signal sont modifiées (amplitude et phase) et changent la forme de se
signal. En particulier, les signaux appliqués à canal subissent un
déphasage en fonction de pulsation .Ce déphasage est caractérisé par le
temps de propagation de phase . Si T est contant, le signal n’est pas
déformé, mais uniquement retardé par le canal. Toutefois, un signal
comporte généralement plusieurs composantes harmoniques, et pour qu’il
ne soit pas déformé, le déphasage devra varier de façon linéaire en
fonction de la fréquence. Dans le cas contraire pour caractériser la
distorsion de phase, on définit le temps de propagation de groupe .
Les distorsions non linéaires (saturation, gain non linéaires) sont
provoquées dans les circuits actifs tels que les amplifications. Ces
distorsions sont difficiles à modéliser et à compenser, heureusement,
c’est un phénomène de faible ampleur. |
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circuit intégré utilisé en télécom
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LA FIBRE OPTIQUE
Il est difficile de transmettre les informations directement par voie
lumineuse à travers l’atmosphère, à cause des conditions
météorologiques dont dépend la transparence du milieu. pour affranchir
ces restrictions, on oblige la lumière à se propager par réflexions
multiples à l’intérieur d’un canal strictement limité et dont les
caractéristiques sont déterminées et stables. Cette réflexion doit être
totale. A cet effet, on utilise un guide diélectrique dont l’indice de
réfraction est supérieur à celui du milieu environnant. Le cœur de li
fibre est entouré d’une gaine de plus faible indice de réfraction. La
différence d’indice entre le cœur n1 et la gaine n2 est choisie très
faible, de façon à obtenir une faible différence de trajet entre le
rayon axial et la limite d’obliquité de réflexion totale. On peut
diminuer cette différence en remplaçant la discontinuité entre le cœur
et la gaine qui existe dans la fibre à saut d’indice de réfraction. Ce
qui conduit à une fibre à gradient d’indice.
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Le signal est communément considéré comme le support
physique d’une information. Les signaux sonores par exemple sont des
fluctuations de la pression de l’air transportant un message à
l’oreille. Les signaux visuels sont des ondes lumineuses qui apportent
l’information à l’œil. Les signaux sont représentés mathématiquement
par une fonction d’une ou à plusieurs variables. Généralement, ils sont
fonction de la variable du temps. Les signaux sont traités soit pour en
extraire de l’information, soit pour les rendre porteurs d’information.
En télécommunication, les signaux sont des grandeurs électriques
(tension, courant). Le passage de l’information au signal se fait dans
les transducteurs. Parmi tous les signaux physiquement possibles, on
distingue : les signaux périodiques, les signaux uniques et les signaux
aléatoires. Face à un signal, on doit toujours avoir présent à l’esprit
qu’il existe deux représentations possibles : la représentation dans le
domaine temps et la représentation dans domaine fréquentiel. La
représentation temporelle est celle visualisée par un oscilloscope. La
représentation dans le domaine fréquentielle indique l’encombrement
spectral du signal, elle peut être visualisée par un analyseur de
spectre ou calculée en faisant appel aux séries de fourrier ou à la
transformation de fourrier.
SOURCES ET RECEPTEURS
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radar permettant de détecter les ondes radio
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Il existe de nombreuses sources et récepteurs de nos jours.en effet le
dévelloppement de l'électronique a apporté beaucoup de nouvelles
technologies encore apellées NTIC.
La voix humaine et parole
La
voix est un vecteur d’information analogique primordiale dans les
communications humaines directes ou indirectes, à travers les systèmes
de télécommunications. Son étude est rendue très complexe par les
aspects physiologiques de la production de son, d’une part, et par les
éléments physiologiques qui influences d’autres parts. Seule une
approche statistique est donc possible. Le domaine spectrale de
l’ensemble des sons vocaux étant de 80 Hz à 12 KHz avec une énergie
totalement décroissante vers les hautes fréquences. La structure
temporelle est irrégulière. Les mots et les phrases sont séparés par
les pauses qui représentent 50% de temps en monologue et 75% pour
chaque interlocuteur en dialogue. Le débit de la parole se situe entre
80 à 200 mots (cinq lettres par mot).
La musique
Le destinataire de la musique est le même que dans le cas de la parole
(oreille). C’est une somme d’information continue qui se distingue par :
Un spectre moyen plus étendu vers les hautes fréquences.
Des plus basses fréquences
Une distribution statistique différente et moins structurée dans le temps.
Des pauses moins fréquentes En conséquence, les exigences
posées au canal sont plus sévères en particulier en ce qui concerne la
limite supérieure de la bande passante, le rapport signal sur bruit et
le taux de distorsion.
Le texte
Un document texte est constitué des caractères (lettres, chiffres,
signes…). La source de l’information est donc discrète et finie. Par
exemple l’alphabet latin minimum constitue de 26 lettres, 10 chiffres,
l’espace inter mots et quelques signes de ponctuation est utilisé en
télégraphie et télex. En revanche, en télétex et télédactilographie,
associé au traitement de texte, on utilise un alphabet de 128
caractères. Les caractères alphanumériques d’un texte peuvent encore
être complétés par des éléments graphiques simples dont la composition
permet de réaliser des schémas ou des signes quelconques.
Images fixes, images mobiles en Noir et Blanc
Une image fixe et un document à deux dimensions. Pour qu’il soit
transmis, il doit être transformé par une analyse séquentielle ligne
par ligne (balayage) ou point par point (tramage). La finesse de cette
analyse en relation avec les dimensions de l’image est déterminée par
le pouvoir séparateur de l’œil humain. L’image de nature analogique à
l’origine peut être représentée sous forme numérique après tramage par
des points discrets dont l’intensité lumineuse est quantifiée en nombre
fini de niveaux de gris. Pour avoir des images mobiles, on crée
l’illusion du mouvement par une succession d’images fixes suffisamment
rapides qui trompent l’œil (persistance rétinienne). En plus de la
redondance intrinsèque de chaque image instantanée, les images
successives ne sont pas indépendantes, mais au contraire très peu
différentes (redondance dynamique). Cette double redondance se traduit
par la prédominance des basses fréquences dans le spectre du signal
vidéo. Cependant les composantes à hautes fréquences bien que rares
sont très importantes lors des brusques changements et rendent une
réduction de redondance problématique. La télévision décompose chaque
image en 625 lignes (en Europe) ou 525 lignes (aux Etats-Unis et au
Japon) ; le long desquelles l’intensité lumineuse est transmise de
manière analogique à raison de 25 images / seconde. Le signal vidéo
obtenu occupe une bande de fréquence de 0 – 5 MHz environ.
L’image en couleur
En plus de l’intensité lumineuse ou luminance d’une image en noir et
blanc, l’information concernant la couleur ou chrominance se décompose
en deux parties :
la couleur proprement dite, la composition spectrale au sens de l’optique
le degré de saturation de cette couleur.
Ces trois paramètres peuvent être dérivés de trois composantes
monochromes correctement choisies, à savoir : le rouge, le vert, le
bleu dont l’addition permet de reconstituer n’importe quelle nuance
colorée.
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Le dévellopement de l'électronique nummérique a favorisé celui des télécoms
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Dans de tels réseaux, les organe de transmission et de commutation sont
suis à la disposition des usagers qui ont accès au réseau par moyens de
transmission individuel. Ils existent d’autres formes de réseaux tels
que : Les réseaux de diffusion où les informations sont transmises ou
inversement unilatéralement, d’une source vers plusieurs destinataires
ou inversement à la collecte d’informations en provenance de plusieurs
sources vers le même destinataire.
Exemple :
la radio diffusion
un central météorologique
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circuit intégré utilisé en télécom
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La communication est le transfert d’informations d’une source vers
un destinataire à travers un canal. Pour qu’il y ait communication, les
conditions suivantes doivent être remplies :
la source et le destinataire doivent se mettre d’accord sur la représentation symbolique de l’information à transmettre.
Le canal devrait être transparent et ne jouer que le rôle de neutre convoyeur, sans interférer sur l’information transmise.
Le canal doit être techniquement et économiquement adapté au type de source et de destinataire en jeu.
L’information à transmettre doit être mise sous forme de compatible avec le canal.
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Le signal est communément considéré comme le support
physique d’une information. Les signaux sonores par exemple sont des
fluctuations de la pression de l’air transportant un message à
l’oreille. Les signaux visuels sont des ondes lumineuses qui apportent
l’information à l’œil. Les signaux sont représentés mathématiquement
par une fonction d’une ou à plusieurs variables. Généralement, ils sont
fonction de la variable du temps. Les signaux sont traités soit pour en
extraire de l’information, soit pour les rendre porteurs d’information.
En télécommunication, les signaux sont des grandeurs électriques
(tension, courant). Le passage de l’information au signal se fait dans
les transducteurs. Parmi tous les signaux physiquement possibles, on
distingue : les signaux périodiques, les signaux uniques et les signaux
aléatoires. Face à un signal, on doit toujours avoir présent à l’esprit
qu’il existe deux représentations possibles : la représentation dans le
domaine temps et la représentation dans domaine fréquentiel. La
représentation temporelle est celle visualisée par un oscilloscope. La
représentation dans le domaine fréquentielle indique l’encombrement
spectral du signal, elle peut être visualisée par un analyseur de
spectre ou calculée en faisant appel aux séries de fourrier ou à la
transformation de fourrier.
SIGNAUX
PERIODIQUES
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tout signal périodique peut étre synthétisé sous forme de somme de sinusoides
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De nombreux phénomènes physiques sont répétitifs. Les signaux qui les
caractérisent sont donc périodiques. Les signaux périodiques ont des
expressions mathématiques relativement simples. Il suffit de déterminer
l’expression sur une période. On génère aussi très aisément de
nombreuses formes de signaux périodiques à l’aide des dispositifs
électroniques. Un signal périodique de période T, peut toujours être
décomposé et cela d’une façon unique en somme de fonctions de sinus et
de cosinus dont les périodes sont les sous-multiples de T.
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De nos jours les NTIC facilitent les échanges
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Signal carré
Ce signal correspond à la fonction représentée par la figure , et qui
se répète périodiquement. On le désigne indifféremment par signal carré
ou rectangulaire. Les signaux carrés peuvent être positifs, négatifs ou
alternatifs . Ces signaux sont très exploités pour la caractérisation
des bits en vue d’une transmission numérique en bande de base (Nous
reviendront sur les formats numérique binaires un peu plus loin).
Si nous considérons le signal de la figure , on détermine aisément ses
caractéristiques. |
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circuit intégré utilisé en télécom
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La figure ci-dessous montre le spectre du signal carré cas et des
exemples de synthèse du signal à partir de quelques harmoniques |
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- Signal original
- Spectre du signal
- Valeur moyenne(bleu), fondamental(rouge), et harmonique 3 (noir)
- Synthèse de l’original à partir des signaux présentés en c)
- Harmonique 5 (bleu), harmonique 7 (rouge), harmonique 9 (bleu ciel)
- Synthèse de l’original à partir des signaux montrés en d) et e)
- Harmonique 11 (bleu), harmonique 13 (rouge), harmonique 15 (jaune)
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Signal en dents de scie
Quelques formes des signaux dents de scie ou rampe sont représentées
sur la figure 5. Ces signaux permettent de faire varier linéairement
une fréquence (modulation) ou une tension (balayages horizontal et
vertical en télévision). |
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- Signal original
- Spectre du signal
- Valeur moyenne (bleu), fondamental (rouge), harmonique 3 (vert) et harmonique 5 (noir)
- Synthèse du signal avec ses 3 premiers harmoniques
- Synthèse du signal avec ses 6 premiers harmoniques
- Synthèse du signal avec ses 12 premiers harmoniques
- Synthèse du signal avec ses 17 premiers harmoniques
- Synthèse du signal avec ses 22 premiers harmoniques
- SIGNAUX
- UNIQUES
-
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les signaux uniques sont à temps continu
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Les signaux uniques décrivent des phénomènes ne se produisant qu’une
seule fois. Chacun des motifs des signaux périodiques étudié
précédemment pris isolement (sans répétition périodiques) peut être
considéré comme un signal unique. Le passage de la représentation
temporelle à la représentation dans le domaine fréquentiel est réalisé
avec la transformation de Fourrier. Ce sont des signaux à temps
continus et fréquences continues alors que les signaux périodiques sont
à temps continu et fréquences discrètes.
Une
image fixe et un document à deux dimensions. Pour qu’il soit transmis,
il doit être transformé par une analyse séquentielle ligne par ligne
(balayage) ou point par point (tramage). La finesse de cette analyse en
relation avec les dimensions de l’image est déterminée par le pouvoir
séparateur de l’œil humain. L’image de nature analogique à l’origine
peut être représentée sous forme numérique après tramage par des points
discrets dont l’intensité lumineuse est quantifiée en nombre fini de
niveaux de gris. Pour avoir des images mobiles, on crée l’illusion du
mouvement par une succession d’images fixes suffisamment rapides qui
trompent l’œil (persistance rétinienne). En plus de la redondance
intrinsèque de chaque image instantanée, les images successives ne sont
pas indépendantes, mais au contraire très peu différentes (redondance
dynamique). Cette double redondance se traduit par la prédominance des
basses fréquences dans le spectre du signal vidéo. Cependant les
composantes à hautes fréquences bien que rares sont très importantes
lors des brusques changements et rendent une réduction de redondance
problématique. La télévision décompose chaque image en 625 lignes (en
Europe) ou 525 lignes (aux Etats-Unis et au Japon) ; le long desquelles
l’intensité lumineuse est transmise de manière analogique à raison de
25 images / seconde. Le signal vidéo obtenu occupe une bande de
fréquence de 0 – 5 MHz environ.
En plus de l’intensité lumineuse ou luminance d’une image en noir
et blanc, l’information concernant la couleur ou chrominance se
décompose en deux parties :
- la couleur proprement dite, la composition spectrale au sens de l’optique
- le degré de saturation de cette couleur.
Ces trois paramètres peuvent être dérivés de trois composantes
monochromes correctement choisies, à savoir : le rouge, le vert, le
bleu dont l’addition permet de reconstituer n’importe quelle nuance
colorée.
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- Le signal est communément considéré comme le support
physique d’une information. Les signaux sonores par exemple sont des
fluctuations de la pression de l’air transportant un message à
l’oreille. Les signaux visuels sont des ondes lumineuses qui apportent
l’information à l’œil. Les signaux sont représentés mathématiquement
par une fonction d’une ou à plusieurs variables. Généralement, ils sont
fonction de la variable du temps. Les signaux sont traités soit pour en
extraire de l’information, soit pour les rendre porteurs d’information.
En télécommunication, les signaux sont des grandeurs électriques
(tension, courant). Le passage de l’information au signal se fait dans
les transducteurs. Parmi tous les signaux physiquement possibles, on
distingue : les signaux périodiques, les signaux uniques et les signaux
aléatoires. Face à un signal, on doit toujours avoir présent à l’esprit
qu’il existe deux représentations possibles : la représentation dans le
domaine temps et la représentation dans domaine fréquentiel. La
représentation temporelle est celle visualisée par un oscilloscope. La
représentation dans le domaine fréquentielle indique l’encombrement
spectral du signal, elle peut être visualisée par un analyseur de
spectre ou calculée en faisant appel aux séries de fourrier ou à la
transformation de fourrier.
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NB: chaque question trouvée vaudra 4 pts
>
question1: les
télécommunications sont l'ensemble des moyens techniques nécessaires à
l'acheminement de l' information entre deux points et à une distance
quelconque.
question2: Les caractéristiques du canal de transmission modifient les propriétés du signal au cours de la transmission .
question3: R,C et G sontquels types de paramètres pour la ligne de transmission
question4: Dans la fibre optique,l'information est transmise sous forme de lumière
question5: La transformation des ondes électromagnétiques en signaux électriques est réalisée à l'aide de
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